top of page

"Détrans" : ils essaient de nous alerter sur les risques des transitions de genre chez les enfants


© CERU


Depuis une dizaine d’années, le nombre d’enfants et de jeunes adolescents qui ont entrepris un changement de sexe ou de genre a explosé. Dans les pays qui ont établi des recensements précis, les chiffres sont vertigineux : ils dépassent les 2000 %.

Quelles raisons expliquent cette augmentation ? Ces « transitions » améliorent-elles le mal-être ressenti par ces jeunes ? Diminuent-elles réellement les risques de suicide ? Quelles peuvent-être les conséquences des différents traitements ?


Certains finissent par regretter leur « transition », et s’engagent dans un processus difficile de « détransition ». À partir du témoignage et des expériences de certains de ces « détrans » et d’une synthèse des derniers articles scientifiques publiés sur ce sujet, Olivier Vial, Directeur du CERU a rédigé une note permettant d'éclairer ces questions.



Ce qu'il faut notamment en retenir :


POURQUOI LE NOMBRE DE TRANSITIONS EXPLOSE CHEZ LES JEUNES ?

Le développement des « dysphories de genre » peut s’expliquer en partie par un phénomène de contagion sociale et culturelle. Le rôle des médias, des pairs et des réseaux sociaux est souligné par plusieurs auteurs.


LE NOMBRE DE PERSONNES « DÉTRANS » POURRAIT PARALLÈLEMENT AUGMENTER

Avec des groupes vingt fois plus importants qu’il y a dix ans, la rapidité et la facilité accrues avec lesquelles certaines décisions sont prises, et la plus grande jeunesse des candidats, les personnes qui voudront revenir sur leur transition seront plus nombreuses.


L’ENGRENAGE DE LA « TRANSITION » PRÉCOCE

Le processus de « transition précoce » agit comme un engrenage. Chaque étape entraîne la suivante. Sans ce suivi médical, « la dysphorie de genre », chez les jeunes enfants, finit par disparaître toute seule dans près de 80 % des cas. Ce qui n’est plus le cas quand le processus est engagé.


LE RISQUE DE SUICIDE NE BAISSE PAS

Après une transition complète, une importante étude suédoise montre que le mal-être des personnes trans ne diminue pas. Pire, le risque de suicides augmente légèrement la première année suivant la fin de la transition.


Retrouvez la note intégrale sur le site du CERU.

241 vues0 commentaire

Aidez nous à financer nos actions et nos travaux

en toute indépendance 

bottom of page