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Françoise Vergès, égérie du décolonialisme, accusée par ses fans de ne pas être assez noire !


@Llam Wé

Ce week-end, la communauté déconialiste s’est déchirée autour de la couleur de peau de l’universitaire Françoise Vergès. Figure de proue du féminisme décolonial en France, celle qui a popularisé les concepts de « férocité blanche », de « blantriarcat » se retrouve au centre d’une polémique depuis qu’une partie de ses adeptes l'accusent de trahison. Son crime : ne pas être noire !


Sur twitter, des centaines d'internautes ont dénoncé ce qu'ils estiment être une usurpation d'identité, voire du « blackfishing », c'est-à-dire la volonté de se faire passer pour noire pour s'approprier une part de la culture ou de l'Histoire des personnes noires.


Ces attaques pourraient faire sourire, tant elles apparaissent comme un simple retour à l'envoyeur, à celle qui à longueur de livres accusent les hommes blancs d'être responsables de tous les maux. Mais, la violence de certains échanges, le sectarisme de certaines étudiantes en sciences humaines qui refusent désormais de lire les ouvrages de celle qu'elles encensaient jusqu'à cette « horrible révélation », tout cela est le signe d'une véritable radicalisation.



Une partie des auteurs décolonialistes - dont Françoise Vergès - pour ne pas être accusée de faire preuve de racisme a pour habitude de prétendre que pour eux le concept de race n'est qu'une construction sociale qui dépasse la biologie.


Force est de constater que ce n'est pas de cette façon qu'une partie de leurs lecteurs utilisent ce concept. Pour eux, la race est bien un « concept biologique dont la pureté se mesure en fonction des nuances de la carnation de leurs interlocuteurs ».


La preuve que le racialisme n'est rien d'autres qu'une forme politiquement correct du racisme.









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